C’est quoi le métier de maçon ?
Parmi les nombreux métiers du bâtiment, on trouve les spécialistes du chantier en la personne des maçons. Hommes à tout faire, ils interviennent partout et leur palette de fonctions s’étend à bien des égards. Aux côtés des menuisiers, des peintres et d’autres professions du bâtiment, le maçon intervient au sein de nombreux chantiers et ouvrages.
Mais concrètement, à quoi s’apparente vraiment le métier de maçon ? Beaucoup de personnes douées de leurs mains et bien équipées s’essaient fréquemment à l’imitation. Cependant, il faut généralement très peu de temps pour comprendre que cette fonction est vouée aux professionnels et qu’il est impératif de leur faire confiance lors de la construction d’une maison ou au moment de faire appel à leurs services sur n’importe quel chantier.
Tout en vous expliquant le fond du métier d’un maçon en activité, nous guidons également les maçons pour gagner en aspect pratique et en productivité au sein de leur activité indépendante. Notamment au moment de gagner de la place.
Maçons ou non, bricoleurs ou non, cet article est fait pour vous.
Quelle formation pour devenir maçon ?
Le maçon peut intervenir en tant qu’indépendant mais également, au sein d’une entreprise spécialisée dans le bâtiment où il peut collaborer aux cotés des ingénieurs et autres chefs de chantier. Son rayon d’action va alors jusqu’aux travaux publics mais qu’importe ses clients et les ouvrages sur lesquels il travaille dans son ensemble, un maçon est généralement issu d’une filière classique et plébiscitée par beaucoup d’artisans de nos jours.
La plupart des maçons sont issus des formations de niveau CAP avec le CAP éponyme de maçonnerie ou encore, le CAP constructeur d’ouvrages en béton armé afin de profiter d’une spécialisation par rapport à d’autres artisans.
Il existe également des métiers de niveau BAC, avec des Bac professionnels maçon, travaux de la pierre ou de nombreuses autres spécialisations, également disponibles en travaux publics.
Lorsqu’il souhaite évoluer au fur et à mesure de sa carrière, un maçon peut devenir chef d’équipe ou chef de chantier. À cet instant, il est conseillé d’être titulaire d’un BTS du bâtiment ou dans le cas inverse, de profiter d’une grande expérience dans l’enveloppe des bâtiments, leur conception et naturellement, la réalisation.
À quoi ressemble la journée d’un maçon ?
Comme annoncé en introduction de ce guide sur la vie d’un maçon, sa palette d’activités reste particulièrement large mais surtout, elle s’étend à différents domaines. En effet, un maçon et ce genre d’artisans intervient sur plusieurs ouvrages, du traditionnel à l’industriel.
En ce qui concerne la construction traditionnelle, le maçon est appelé pour préparer les fondations d’une maison. Par la suite, il est celui qui monte les murs en s’assurant de tous les aspects sécuritaires et également, de respecter les cotes annoncées sur le plan de construction. Les cloisons et les dalles sont également de son ressort et pour cela, il peut avoir à assembler grâce à ses différents outils, briques et parpaings. Avec le mortier ou le ciment, il est un véritable maître pour s’assurer de la solidité d’un ouvrage et du respect des dimensions de chaque pièce par rapport au plan.
Le maçon peut également intervenir au sein d’une construction industrielle, à savoir un immeuble ou quelque chose de bien plus important qu’une maison au niveau de la taille ! Spécialiste des armatures dans le cas échéant, il fait en sorte que le ferraillage des bâtiments soit posé en bonne et due forme pour apporter rigidité et solidité au bâtiment concerné. Parfois, il effectue également des coffrages et des moules dans lequel il coule du béton, son fidèle compagnon sur les chantiers…
Comment gagne de la place en tant que maçon ?
Vous l’aurez compris en lisant ces quelques lignes sur le métier de maçon et les fondements de la maçonnerie mais incontestablement, l’équipement lié à cette activité dans le bâtiment est rapidement conséquent, ne serait-ce qu’au niveau de la taille des objets.
Lorsque l’on est un indépendant installé à son compte en tant que maçon, la place peut donc parfois manquer. Ou si elle ne manque pas, l’aspect pratique n’est pas toujours le plus simple avec un débarras peu accessible et beaucoup de temps perdu entre les chantiers sur lesquels il faut se rendre pour rencontrer d’autres artisans ou tout simplement, pour continuer la construction de l’ouvrage prévu.
Les serre-joints, truelles, règles et autres burins se placent plutôt aisément au sein d’un véhicule utilitaire mais dès lors que l’on touche à la bétonnière, aux tréteaux, aux étançons ou naturellement aux échafaudages, la place peut rapidement manquer et donc, agir sur l’aspect pratique et productif des travaux.
Fort heureusement, il ne faut pas toujours utiliser ces équipements ou du moins, ne pas les avoir en permanence avec soi à tous les instants du chantier. Ainsi, il convient de pouvoir les stocker de manière aisée et ainsi, gagner en productivité et en place sur le chantier, dans son véhicule de fonction et également, au sein de son atelier ou de son débarras. Tous ces matériaux se devraient d’être accessibles à n’importe quel moment, sans toutefois à devoir les transporter et prendre le risque de les abimer lorsque l’on ne doit pas s’en servir.
C’est à cet instant bien précis que la solution selfstock.com entre en œuvre avec plus de 100 centres de stockage partout en France. Si le principe du garde-meuble continue de s’étendre en France, aucune autre enseigne ne peut se vanter de se montrer aussi pratique pour les artisans et les travailleurs indépendants du bâtiment que selfstock.com. En effet, avec un accès libre en véhicule devant n’importe quel box situé en extérieur et ce, 24 heures sur 24 et sept jours sur sept, nul doute que l’aspect pratique est de mise pour récupérer son matériel et se rendre sur un chantier avec les outils nécessaires.
De nombreux maçons utilisent les services de selfstock.com et c’est également le cas de nombreux autres artisans présents sur les chantiers, non sans une certaine logique.